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Barillet |
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Le barillet est un sélecteur rotatif, par exemple le barillet des vitesses.
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Cellule |
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La cellule est l'instrument qui permet de mesurer la luminosité d'une scène afin de déterminer l'exposition. Elle peut être externe (on parle alors de posemètre) ou intégrée à l'appareil photo. Dans ce cas on distingue deux types de cellules :
- les cellules indépendantes de l'objectif : elles sont situées sur le boîtier (photo ci-contre) ;
- les cellules TTL (through the lens) qui mesurent directement la lumière à travers l'objectif. Ce sont les plus précises puisqu'elles mesurent la lumière qui frappera exactement le film. Elles équipent la plupart des reflex.
Les premières cellules étaient constituées d'un élément au sélénium. Ce matériau a la propriété de produire de l'électricité lorsqu'on l'éclaire : il suffit de mesurer le courant produit pour déterminer la luminosité de la scène. Ces cellules présentaient l'avantage de marcher sans pile mais ne fonctionnaient pas en basse lumière. Vinrent ensuite les cellules dites CdS, consituées d'un élément dont la résistance électrique diminue lorsqu'il est éclairé. On mesure la résistance pour connaître la luminosité. Plus précises, les cellules CdS nécessitent une pile et ne sont toujours pas performantes en basse lumière. Puis apparurent les cellules au silicium (CCD), très précises et capable de mesurer les faibles luminosités.
Sur les appareils les plus anciens, la cellule donnait une indication d'exposition qu'il fallait reporter manuellement sur le boîtier. Puis elles furent couplées, c'est à dire qu'elles réagissaient directement aux modifications d'exposition effectuées par le photographe. Sur les appareils modernes, elles sont capables de piloter l'exposition automatiquement.
Voir Modes d'exposition.
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Chambre |
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Les chambres sont des appareils de grand format qui emploient généralement des plans film. D'utilisation complexe, elles sont conçues pour la photographie de très haute qualité (architecture, publicité...). Elles sont souvent dotées du double tirage, d'une visée sur dépoli et d'une optique à décentrement.
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Codage DX |
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Le codage DX est un système de détection automatique de la sensibilité du film employé sur les appareils modernes 24 x 36 mm. Il se présente sous la forme de carrés métallisés et noirs peints sur la cartouche du film. Les contacteurs correspondants sont disposés dans le logement du film de l'appareil.
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Compact |
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Les compacts proposent au grand public de quoi faire des images sans se compliquer la vie.
Les premiers compacts étaient très simples : un objectif, un obturateur et c'est tout. Ils se complexifièrent par la suite : télémètre, cellule... jusqu'à devenir les concentrés d'électronique actuels.
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Décentrement |
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Le décentrement consiste à utiliser l'objectif en dehors de son axe en le déplaçant horizontalement ou verticalement par rapport à cet axe. Ceci permet, en photographie d'architecture notamment, de corriger les déformations de la perspective.
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Diaphragme |
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Situé dans l'objectif, le diaphragme est constitué de lamelles qui, en se fermant ou s'ouvrant, permettent de régler la quantité de lumière qui traverse l'objectif, à la manière de l'iris d'un oeil. Sur certains compacts, l'obturateur remplit en même temps le rôle de diaphragme. Le diaphragme influe aussi sur la profondeur de champ.
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Double tirage |
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Sur certaines chambres, le double tirage permet d'étendre le soufflet du double de la longueur du rabat grâce à un système de rails. Ceci permet la mise au point rapprochée mais diminue l'ouverture relative de l'objectif.
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Effet Schwarzschild |
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Voir réciprocité.
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Exposition |
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L'exposition est la quantité de lumière reçue par le film. Son réglage précis est crucial pour l'obtention d'un bon négatif, sinon la photographie sera trop sombre ou trop claire. L'exposition est réglée par deux paramètres :
- le temps de pose déterminé par l'obturateur : plus le temps de pose est long, plus la quantité de lumière reçue par le film est importante ;
- l'ouverture déterminée par le diaphragme : plus l'objectif est ouvert, plus la quantité de lumière qui peut le traverser est grande.
On parle alors de couple ouverture/vitesse ou, ce qui revient au même, diaphragme/temps de pose. L'exposition est parfois exprimée par une unité de luminosité, l'IL ou EV.
La mesure de l'exposition se fait à l'aide d'une cellule. Divers facteurs peuvent influer sur l'exposition : emploi de filtres, de soufflets...
Voir Modes d'exposition.
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Filtre |
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Les filtres montés devant ou derrière l'objectif permettent de modifier le rendu de l'image, notamment en noir et blanc. Par exemple le filtre jaune-vert améliore les paysages et les portraits tandis que le filtre rouge augmente le contraste de la plupart des sujets. Certains filtres nécessitent de corriger l'exposition car ils absorbent de la lumière.
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Focale |
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La focale désigne la distance entre le centre optique de l'objectif et l'image d'un objet situé à l'infini. Elle est généralement écrite sur l'objectif à côté de la lettre f (exemple : f = 200 mm). La focale d'un objectif peut être fixe ou variable (on parle alors de zoom).
La focale détermine la manière dont un objectif interprète la scène photographiée. Plus la focale est longue, plus le sujet est "grossi". On peut ainsi définir trois types d'objectifs :
- les objectifs de focale normale, qui donnent du sujet une vue naturelle ;
- les objectifs de courte focale ou grand angle, qui permettent de photographier des scènes étendues ;
- les objectifs de longue focale, qui permettent de photographier des sujets éloignés.
Pour un format donné, on considère la focale comme normale lorsqu'elle est égale à la diagonale du cliché, longue lorsqu'elle lui est supérieure et courte lorsqu'elle lui est inférieure. Ainsi pour le format 24 x 36 mm la focale normale est 50 mm, pour le 6 x 6 cm elle est de 80 mm.
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Folding |
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Comme son nom l'indique, le folding est un appareil capable de se replier. A l'époque du règne de ces appareils, l'objectif devait se trouver loin du plan film, à sa distance focale réelle : on les a donc articulés pour qu'ils restent transportables. Et ce fut fort réussi, puisqu'un 6 x 9 cm de ce type tient dans une (grande) poche.
Les foldings furent construits dans tous les formats et pour toutes les bourses, du très simple Lumière Dialux au merveilleux Zeiss Ikon Super Ikonta 533/16. Ils furent définitivement détrônés après guerre par le 24 x 36 mm. Les progrès réalisés dans la finesse des films et dans la performance des optiques permirent en effet à ce petit format de s'imposer auprès de presque tous les publics.
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Format |
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Le format désigne la taille du cliché produit par l'appareil. Plus le cliché est grand, plus la photo est détaillée mais plus l'appareil est encombrant. On distingue les petits formats (APS, 24 x 36 mm), les moyens formats (4,5 x 6 cm, 6 x 6 cm...) et les grands formats (9 x 12 cm et plus).
Le format peut aussi désigner le type de pellicule employé par l'appareil.
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Hyperfocale |
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Au delà de la distance appelée infini, la mise au point n'est plus nécessaire : tous les objet sont nets. En fermant le diaphragme, ce qui augmente la profondeur de champ, les objets proches, en deçà de la distance de mise au point, deviennent nets aussi. Il existe donc une distance pour laquelle la profondeur de champ va jusqu'à l'infini : c'est l'hyperfocale.
Ce concept est utile sur les appareils dépourvus de dispositif de mise au point : par exemple les appareils jetables sont réglés sur l'hyperfocale, si bien que les images qu'ils produisent sont nettes de 1 mètre environ à l'infini.
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Infini |
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Lorsque le sujet se trouve au delà d'une certaine distance, la mise au point n'est plus nécessaire : tous les objets sont nets. Cette distance est appelée l'infini.
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Leica |
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On ne présente plus ce fabricant mythique d'appareils et d'objectifs. Les Leica (Leitz Camera) existent actuellement sous deux formes :
- les télémétriques (du M3 au M7) qui utilisent les objectifs à monture M ;
- les reflex qui utilisent des objectifs à monture R. Ceux-ci possèdent une, deux ou trois cames qui servent à actionner divers automatismes. Le Leicaflex accepte tous les objectifs, le Leicaflex SL2 nécessite au moins deux cames et les boîtiers ultérieurs (du R3 au R9) nécessitent trois cames. Les modèles postérieurs au R8 peuvent également utiliser des optiques pourvues de contacts électroniques.
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Ménisque |
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Un ménisque est un objectif composé d'une seule lentille. Les images produites sont médiocres mais le prix de fabrication infime. Hier ce type d'objectif équipait les box, aujours'hui on les trouve sur les jetables.
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Miroir |
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Sur les appareils reflex, l'image est renvoyée directement de l'objectif dans le viseur par un miroir. Sur les reflex mono-objectifs, celui-ci se relève au moment de la prise de vue pour laisser la lumière arriver sur le film. Sur certains reflex, il est possible de relever le miroir avant la prise de vue afin de diminuer les vibrations. C'est particulièrement utilse avec les longues focales qui sont très sensibles au moindre bougé.
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Modes d'exposition |
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Les modalités de mesure de l'exposition sont diverses.
Les premières cellules mesuraient la luminosité moyenne de la scène. Puis apparut la mesure centrale pondérée où la partie centrale de l'image (où est sensé se trouver le sujet principal) a plus d'importance dans la mesure que sa périphérie. La mesure spot mesure quant à elle la luminosité d'un point très précis de la scène à photographier. Difficile à manier, elle permet cependant un très bon contrôle dans les situations de lumière difficile. Certains appareils modernes utilisent une mesure matricielle qui consiste à comparer plusieurs points de la scène suivant des algorithmes plus ou moins compliqués. L'exposition peut parfois être mémorisée afin de recomposer le cadrage après la mesure.
Une fois la lumière mesurée, il existe plusieurs manières de régler lecouple diaphragme - temps de pose en conséquence.
La priorité vitesse consiste à laisser l'utilisateur régler la vitesse d'obturation, l'appareil réglant le diaphragme afin d'assurer l'exposition correcte en fonction de la luminosité. La priorité diaphragme laisse l'utilisateur régler l'ouverture (autrement dit la profondeur de champ) tandis que l'appareil règle la vitesse. Les modes "Programme" ou tout automatique prennent en charge le réglage du diaphragme et de la vitesse. Le mode manuel laisse l'utilisateur régler tous les paramètres en lui indiquant parfois quels sont les réglages conseillés.
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Nombre guide (NG) |
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Le nombre guide indique la puissance d'un flash. Il représente l'ouverture à laquelle doit être réglé l'objectif pour garantir une exposition correcte d'un sujet situé à 1 mètre avec une pellicule d'une sensibilité de 100 ISO.
Par exemple avec un flash de NG 11, un objet situé à 1 mètre devra être photographié en fermant le diaphragme à f/11 avec un film 100 ISO, et à f/22 avec un film 400 ISO. A 2 mètres on double la distance donc on éclaire 4 fois moins : il faudra régler le diaphragme respectivement à f/5.6 et f/11.
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Objectif |
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L'objectif est le dispositif optique qui forme l'image sur le film. Ses caractéristiques principales sont l'ouverture et la focale. Les objectifs fabriqués après guerre sont généralement traités anti-reflets, c'est à dire que leurs lentilles sont recouvertes de composés chimiques qui atténuent la réflexion de la lumière ce qui augmente notablement le contraste.
L'objectif peut être fixe, c'est à dire qu'on ne peut pas le changer, comme sur les compacts ; ou interchangeable, comme sur la plupart des reflex où on peut choisir entre différents objectifs de différentes focales. Pour les objectifs interchangeables, il existe deux types de fixation : à vis ou à baïonnette.
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Obturateur |
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L'obturateur est le dispositif qui, par son ouverture et sa fermeture, détermine la durée de l'exposition du film (on parle de temps de pose ou de vitesse d'obturation). Plus le temps de pose est long plus la quantité de lumière qui frappe la pellicule est importante.
L'obturateur peut être situé au centre optique de l'objectif (obturateur central), c'est le cas de la plupart des compacts ; ou il peut être situé juste devant le film (obturateur focal), comme sur la plupart des reflex.
L'obturateur central est généralement constitué de lamelles qui se recouvrent mutuellement et qui s'écartent au moment de la prise de vue. L'obturateur focal est généralement constitué de deux rideaux : le premier ouvre l'obturateur et le second le referme.
Voir Synchro-flash.
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Ouverture |
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L'ouverture relative d'un objectif est le rapport entre la focale (f) et le diamètre maximal du diaphragme (D) de l'objectif. On parle aussi de rapport f/D. Il est noté f/ouverture sur l'objectif (par exemple f/2.8). L'ouverture indique la quantité de lumière que laisse passer l'objectif. Plus le rapport f/D est petit, plus l'ouverture est grande. Un objectif très ouvert permet de travailler plus facilement en faible lumière.
Sur la plupart des objectifs, on peut régler l'ouverture en fermant ou en ouvrant plus ou moins le diaphragme, ce qui influe également sur la profondeur de champ.
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Parallaxe |
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Lorsque la visée n'est pas faite à travers l'objectif de prise de vue (voir reflex) mais dans un viseur séparé (comme sur les télémétriques), il existe un décalage entre l'image visible dans le viseur et celle qui sera réellement photographiée, surtout à faible distance : c'est la parallaxe. Sur certains appareils haut de gamme elle est automatiquement corrigée par un dispoitif mécanique. Sur la plupart des compacts elle est indiquée par des repères fixes.
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Pare soleil |
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Le pare - soleil se fixe devant l'objectif et empêche les rayons lumineux indésirables d'y rentrer, augmentant le contraste. Son utilisation est vivement conseillée en toute conditions.
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Pellicule |
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Surface sensible qui enregistre l'image, les pellicules photographiques ont été fabriquées dans tous les formats, sous forme de cartouches, de rouleaux ou de plans films. Le format des pellicules est généralement donné par un numéro. On ne trouve plus guère aujourd'hui que le format 120 en rouleau de 60 mm de large, le format 135 en cartouche de 35 mm de large et le plan film 4 x 5 pouces. A une époque de nombreux formats se disputaient le marché : 620, 616, 127...
Inventée par Kodak au début des années 30, la cartouche 135 permet de recharger l'appareil en plein jour. Elle contient du film cinéma de 35 mm. C'est la pellicule standard qu'on trouve partout aujourd'hui.
Une pellicule est caractérisée par son type (diapositive, papier couleur ou noir et blanc...) et sa sensibilité à la lumière exprimée en ISO (anciennement ASA et DIN).
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Plan film |
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Ce terme désigne deux choses :
- le plan par lequel passe le film. La distance entre le centre optique de l'objectif et le plan film définit la focale ;
- le film vendu en plaques et non en cartouches ou bobines.
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Pose B, T |
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Les poses B et T sont deux temps de pose spéciaux donnés par certains obturateurs adaptés aux poses longues. En pose B, l'obturateur reste ouvert aussi longtemps que l'on appuie sur le déclencheur. En pose T, la première pression ouvre l'obturateur et la deuxième le referme.
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Posemètre |
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Le posemètre est une cellule extérieure à l'appareil photo qui permet de déterminer l'exposition correcte. Il fonctionne généralement de deux manières : par mesure de la lumière incidente, c'est à dire qui arrive sur le sujet, ou par mesure de la lumière réfléchie par le sujet. Certains font également office de flashmètre, c'est à dire qu'ils mesurent l'exposition correcte lors de l'utilisation du flash. Ci-contre un posemètre électronique, le Sekonic L-308B.
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Prisme |
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Dans le viseur des appareils reflex mono-objectifs, le prisme est un morceau de verre taillé (à cinq faces, si bien qu'on parle aussi de pentaprisme) qui remet l'image à l'endroit avant de l'envoyer sur le verre de visée. Sans le prisme, l'image apparaîtrait à l'envers.
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Profondeur de champ |
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La profondeur de champ est la zone de l'image considérée comme nette en avant et en arrière de la distance de mise au point. Plus le diaphragme est ouvert, plus la profondeur de champ est faible. Par exemple, en ouvrant le diaphragme, on peut faire un portrait ou le modèle est net et l'arrière-plan flou, ce qui met le sujet en valeur. A l'inverse, pour un paysage on peut fermer le diaphragme et ainsi avoir une photo nette du premier plan jusqu'à l'horizon.
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Reflex |
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Le reflex permet d'avoir une vision extrêmement précise de la prise de vue puisqu'on vise directement à travers l'objectif grâce à un miroir qui renvoie l'image dans le viseur. Il existe deux types de reflex :
- les reflex mono-objectifs, où l'objectif de prise de vue et de visée est le même. Le miroir se relève au moment de la prise de vue. Sur certains reflex, on peut le relever avant la prise de vue pour réduire les vibrations.
- les reflex bi-objectifs, qui ont un objectif dédié à la prise de vue et un autre dédié à la visée. Ils ont l'avantage d'être plus discrets puisque le miroir n'a pas besoin de se relever pour prendre le cliché, mais l'inconvénient de présenter une parallaxe entre la visée et le sujet réellement photographié.
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Réciprocité |
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La réciprocité (ou effet Schwarzschild, du nom de l'astronome qui l'a découvert) est une caractéristique des films qui fait que leur sensibilité réelle diminue quand le temps de pose est long. Ainsi, sur un film standard, si la cellule indique un temps de pose d'une seconde il faudra en fait poser deux secondes pour compenser la perte de sensibilité.
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Soufflet |
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Se présentant comme une sorte d'accordéon, le soufflet est, sur les foldings et les chambres, chargé d'assuer l'étanchéité lumineuse entre l'objectif et le plan film. Il doit donc absolument être exempt de trous ou déchirures.
On trouve également des soufflets qui se montent entre l'objetif et le boîter des reflex modernes et qui servent à réaliser des photographies très rapprochées.
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Sténopé |
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Tout le principe du sténopé ("trou étroit" en grec) réside dans l'objectif qui n'est qu'un simple trou (ci-contre celui du Zero 6x9, le trou étant le point noir au milieu de la zone dorée). Pas si simple en fait, car de la qualité de celui-ci dépend celle de la photo. Il doit être parfaitement rond et fabriqué dans le matériau le plus mince possible. De plus son diamètre doit être très petit, quelques dixièmes de millimètre tout au plus. Sa fabrication est donc tout sauf évidente.
Les images produites par ce genre d'appareil sont pour le moins particulières. En général à très grand angle même si ce n'est pas une obligation elles sont surtout, par principe, nettes d'un bout à l'autre, la profondeur de champ du sténopé étant quasi-infinie. Bien sûr elles ne sont pas aussi nettes qu'avec un objectif classique mais ce n'est pas vraiment ce qu'on recherche dans le sténopé.
En contrepratie, l'ouverture est minuscule (f/235 pour l'exemple ci-contre) d'où des temps de pose atteignant aisément plusieurs dizaines de secondes le jour et plusieurs dizaines de minutes, voire plusieurs heures, la nuit. Aux antipodes de l'évolution technologique, la photographie au sténopé n'est donc pas affaire de gens pressés.
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Stéréoscopie |
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Pour percevoir les volumes et les distances, le cerveau interprète le léger décalage entre les deux images que lui envoient les deux yeux. La stéréoscopie consiste à prendre deux photographies décalées d'une même scène puis à placer chacune des images devant l'oeil qui lui correspond afin de recréer la sensation de relief. Les appareils stéréoscopiques sont donc dotés de deux objectifs et de deux obturateurs afin de prendre les deux images d'un seul coup.
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Stigmomètre |
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Le stigmomètre est un organe de mise au point couramment employé dans les appareils reflex manuels. Il se présente sous la forme d'un cercle coupé en deux au centre du viseur. Tant que l'image n'est pas au point, les deux demi-images sont décalées. Il suffit alors d'aligner les images en faisant tourner la bague de mise au point de l'objectif. Ce système présente l'avantage d'être précis à toutes les focales contrairement au télémètre.
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Super Ikonta |
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Fabriqués par Zeiss Ikon de 1934 à la fin des années 50, les Super Ikonta étaient les meilleurs des foldings. Dotés d'excellents objectifs (généralement des Tessar) et obturateurs, ils étaient en outre dotés d'un télémètre couplé extrêmement précis. Ils existaient en quatre formats : 4.5 x 6 cm (modèle A), 6 x 6 cm (modèle B), 6 x 9 cm (modèle C) et 6.5 x 11 cm (modèle D). Les modèles A, B et C utilisent les pellicules 120 toujours produites, ce qui rend ces appareils très prisés des collectionneurs et des amateurs de grand format. Les images qu'ils produisent restent d'excellente qualité face aux standards actuels. Le modèle D utilise du film 616 introuvable aujourd'hui.
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Synchro flash |
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La synchro-flash est la possibilité d'utiliser le flash lors de la prise de vue. Pour cela, il faut déclencher le flash très précisément quand l'obturateur est complètement ouvert, sinon il y a un risque de perdre de la lumière ou d'avoir une partie de la photo noire.
Avec les obturateurs centraux à lamelles, le flash peut être utilisé à toutes les vitesses car l'obturateur s'ouvre toujours entièrement. Avec les obturateurs focaux à rideaux, le flash ne peut être utilisé qu'en dessous d'une certaine vitesse. En effet, aux vitesses lentes, le premier rideau découvre complètement le négatif puis le second le recouvre. Aux vitesses rapides, le deuxième rideau démarre alors que le premier n'est pas encore arrivé : il n'y a donc qu'une mince fente découverte à un instant T. Si on déclenche le flash à une vitesse rapide on n'éclairera donc qu'une bande de l'image. La vitesse minimum d'utilisation du flash est appelée vitesse de synchro-flash.
Sur les appareils anciens, on trouve deux types de synchro-flash : la synchro X pour flash électronique et la synchro M (ou P) pour flash magnésique dont le départ est plus lent.
Le contact qui donne l'ordre au flash de se déclencher est situé soit directement dans la griffe porte flash, soit sur une prise séparée. L'illustration montre les prises de synchro-flash du Robot Star. La synchro M est en haut, la synchro X en bas.
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Temps de pose |
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C'est le temps pendant lequel la pellicule reçoit de la lumière. Il est déterminé par l'ouverture et la fermeture de l'obturateur. C'est un des paramètres qui détermine l'exposition.
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Tessar |
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Conçu par le Dr. Paul Rudolph en 1902 et produit par Zeiss, le Tessar est, plus de 100 ans après son invention, encore fabriqué. Constitué de 4 lentilles (d'où son nom dérivé du terme grec "tessares" signifiant "quatre"), cet objectif de légende a équipé et équipe encore les meilleurs appareils photo. A l'époque de sa sortie, ses performances révolutionnaires lui valurent le surnom d'oeil d'aigle. La formule optique du Tessar a influencé un grand nombre d'objectifs et a été largement copiée.
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Télémètre |
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Le télémètre fut le premier système de mise au point rapide et précis. Le principe du télémètre est relativement simple : lorsqu'on observe un objet depuis deux endroits différents, les deux lignes de visée forment un angle. En mesurant cet angle et la distance entre les deux points d'observation on peut calculer l'éloignement de l'objet observé. Le télémètre photographique, par un système optique, automatise cette mesure : il suffit de faire se superposer dans le viseur les deux images produites par les deux fenêtres du télémètre et de lire la distance au sujet sur l'affichage. Le télémètre présente l'inconvénient de n'être pas très précis à grande distance ce qui le rend difficile d'utilisation avec les longues focales.
Sur les premiers appareils à télémètre, celui-ci était indépendant du viseur et de l'objectif : il fallait d'abord mesurer la distance, la reporter sur l'objectif puis viser. Viseur et télémètre furent par la suite rassemblés pour permettre de cadrer et mettre au point en même temps. Le télémètre et l'objectif furent couplés afin de faire la mise au point d'un seul geste. Pour doter les appareils qui n'en étaient pas pourvus d'un système de mise au point, des télémètres indépendants furent fabriqués qui se fixaient généralement sur la griffe flash, comme le Watameter II ci-contre.
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Télémétrique |
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Les télémétriques sont appelés ainsi car ils sont dotés d'un télémètre pour la mise au point. Celui-ci est généralement intégré au viseur. Le télémétrique a pour avantage sa discrétion puisque, contrairement au reflex, il n'a pas de miroir qui se relève au moment de la prise de vue. Ses inconvénients sont la parallaxe entre le viseur et l'objectif de prise de vue (corrigée sur les appareils haut de gamme) et les limitations du télémètre, pas assez précis pour les longues focales.
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Traitement anti reflets |
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Avant la deuxième guerre mondiale, une des limitations à laquelle se heurtaient les opticiens était la réflexion de la lumière sur les lentilles des objectifs. Celle - ci abaissait le contraste et créait des reflets ou "fantômes" sur la photographie. De plus, une bonne part de la lumière ainsi réfléchie n'atteignait jamais le film, diminuant la luminosité d'autant. Tout l'art des ingénieurs consistait à réduire le nombre de lentilles et donc le nombre de surfaces susceptibles de réfléchir la lumière sans pour autant altérer le piqué de l'image.
Durant la guerre, la firme allemande Zeiss mit au point le premier traitement anti-reflet. Celui-ci consistait à recouvir les lentilles d'une couche de fluorite ce qui leur donnait une teinte bleutée caractéristique. Dans les années 60 apparut le traitement multicouches encore plus efficace, donnant toutes sortes de teintes aux lentilles : brun, vert, rouge...
La réflexion sur les lentilles ainsi réduite, la qualité des images s'améliora et la conception des objectifs évolua grandement. Ainsi avant la guerre la meilleure optique était le Tessar avec ses quatre lentilles. Avec le traitement le plus simple, les objectifs purent sans problème être dotés de 5 voire 7 lentilles. Sur les zooms, le nombre de lentilles peut approcher la vingtaine, ce qui serait impensable sans traitement anti-reflets.
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Trame microprismes |
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La trame microprismes est un procédé de mise au point souvent employé sur les reflex en complément du stigmomètre. Elle fonctionne sur le même principe mais au lieu d'être composée de deux demi-cercles, elle est formée de dizaines de prismes qui donnent une image "décomposée" tant que la mise au point n'est pas précisément faite. Lorsque celle-ci est faite l'image apparaît clairement.
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Triplet |
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Un triplet est un objectif constitué de 3 lentilles. Leur qualité est en général assez moyenne.
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TTL |
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Voir Cellule.
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Verre de visée |
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Sur les appareils reflex et les chambres, le verre de visée est l'endroit où se forme l'image qui permet de composer la photographie et faire la mise au point. Sur certains appareils ce verre est interchangeable. On peut ainsi avoir un verre doté d'un stigmomètre pour la mise au point, ou un verre quadrillé pour aider à la composition, etc.
Voir viseur.
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Vignettage |
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Le vignettage est un défaut courant des objectifs bas de gamme et grand angle. Il se manifeste par un assombrissement des coins de l'image.
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Viseur |
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Le viseur permet de composer la photographie. Il contient généralement le système de mise au point : télémètre, verre dépoli...
On distingue plusieurs types de viseurs :
- le viseur galiléen, employé sur la plupart des compacts, est conçu comme une petite lunette de Galilée consituée de deux lentilles, parfois plus. Ce type de viseur est parfois collimaté, c'est à dire qu'un cadre lumineux donnant les limites précises de la future photographie y est visible en superposition. Il contient en outre généralement le télémètre (voir photo : le viseur de l'Olympus 35 SP).
- Le viseur reflex permet de voir la photographie à travers l'objectif de prise de vue (reflex mono-objectif) ou à travers un objectif de visée (reflex bi-objectif) à l'aide d'un miroir de renvoi. La mise au point se fait alors sur une zone dépolie du verre de visée, à l'aide d'une trame microprismes ou à l'aide d'un stigmomètre. Sur les reflex mono-objectif, l'image du viseur est remise à l'endroit par un prisme. On trouve également des prismes en option pour certains reflex bi-objectif.
- la visée sur dépoli : employée sur les chambres de grand format, elle consiste à regarder directement l'image produite par l'objectif sur un verre dépoli qu'on remplace par un plan film au moment de la prise de vue. L'image y apparaît à l'envers.
- Le viseur sportif est le plus simple qui soit : il est constitué de deux cadres en métal.
Les viseurs modernes indiquent parfois les paramètres d'exposition.
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Vitesse |
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Synoyme de temps de pose.
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